Le propre d’un show rock, c’est de pas être propre per se : c’est cet aspect brut qui fait ressentir des émotions qui le sont tout autant - et ça, Bon Enfant le sait et l’applique grandement. Pas de costumes, pas de mise en scène — juste du vrai monde qui te raconte ses vraies affaires. C’est aussi l’imprévu, le danger, la nouveauté : v’là tu pas qu’avec eux autres t’auras jamais le même set 2 fois, puisé différemment à chaque soir dans un catalogue de 3 capables albums pour construire quelque chose d’unique — quelque chose dont le public fait partie. Des personnalités fortes qui s’enchevêtrent plutôt que s’entrechoquent, des lignes de basse, des riffs de guitare, des punchs de cymbales pis des racks à claviers à pu finir, le tout mené par la chaude voix de Daphné Brissette. Des moments ardents à partager, desquels on ressort en se sentant mieux, et en en redemandant.

Première partie – Les Deuxluxes

Les Deuxluxes, un duo qui fait tourner les regards et hocher les têtes. Un rythme incessant, une fougue contagieuse et avant tout, une formule gagnante. Apparu en 2014 avec un premier EP explosif, Traitement Deuxluxe, le groupe composé de deux multi-instrumentistes (Anna Frances — guitares ténor, voix et flûte, Etienne Barry — guitares, batterie, voix) s’est fermement ancré comme acteur important dans l’écosystème local. Ayant joué dans une quinzaine de pays et avec trois albums à leur actif, le duo nous revient rafraîchi, armé de Pleasure Doing Business, un EP de 4 bangers entièrement autoproduit et lancé sous leur propre bannière, Noble Shit Records. Les guitares revolent, les paroles tranchent et les arrangements enveloppent. Les Deuxluxes sont bien sur leur X et ce serait une grave erreur de passer à côté !

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EFFET RASSEMBLEUR
Réunis pour briser l'isolement

Assister à un spectacle a un effet sur la vie d'une personne seule. BLEUFEU remet dorénavant 0,50$ par billet vendu à des organismes locaux qui oeuvrent pour briser l'isolement.